Martine Caplanne chante Guy d’Arcangues et elle a raison
(...) Je savais que Martine Caplanne avait enregistré un disque (épuisé) de textes de ce poète que sans l’avoir lu, je classais chez les “convenus”. Erreur de jeunesse, pensais-je, tout le monde a le droit à l’erreur, même “l’hirondelle des poètes”, que l’on ne peut taxer de superficialité ni de légèreté, encore moins de recherche de la “convenance”. Par ces quelques lignes, je veux battre ma coulpe, et devant Martine et devant l’âme du poète disparu. J’étais au Colisée de Biarritz il y a quelques jours et j’ai assisté à l’hommage rendu par la chanteuse, son complice le guitariste Albert Eyheramendy ainsi que Luce Buchheit et René Hervé, deux artistes de l’association “Escalazur”. Et là je suis restée pétrifiée. Pas par la voix ni par l’interprétation de Martine dont je connais le charisme et la puissance émotive transmissible, pas non plus par la virtuosité du guitariste basque dont j’avais déjà ressenti le “feeling”, mais par les textes de ce d’Arcangues qui a quitté ce monde et son village tant aimé il y a trois ans. Tout y est : la profondeur, la gravité, l’émerveillement, la joie qui surgit là où on l’attend le moins, l’amour, la tendresse. Et l’humour et l’humanisme. L’engagement aussi. (...)
J.C. - Le journal du Pays Basque 2007

La chanteuse Martine Caplanne ovationnée par le public pour le dernier “Chantez Guinguettes”. Samedi, la Maison de la Vie Rurale a fait le plein pour la dernière de “Chantez guinguettes”. Cette soirée organisée en partenariat avec Arts Métiss, recevait la chanteuse Martine Caplanne et douze poètes venus de la France entière lui rendre hommage. Accompagnée par son guitariste Albert Eyheramendy, elle a emmené le public jusqu’à minuit à la rencontre de poètes d’hier et d’aujourd’hui. A l’issue du spectacle, les applaudissements se sont prolongés longtemps.
Ouest France septembre 2006

(...) Trouver son mode d’expression demeure un des processus les plus passionnants de l’existence, le peaufiner relève du grand art. Un accomplissement en soi. Martine Caplanne a trouvé sa voie, la mise en musique des poèmes qui l’inspirent.Vétus de rouge et de noir, Martine Caplanne et son guitariste Albert Eyheramendy ont accueilli leur public par un malicieux “Bonsoir” du poète Philippe Soupault. Derrière le regard espiègle de la chanteuse conteuse se cache un tempérament vif. Sa voix à la fois grave et enveloppante, se teinte d’un voile pudique dans les textes les plus remuants. Elle semble s’accorder une distance tacite entre les mots qu’elle chante et leur impact direct, comme pour ne pas heurter de plein fouet la sensibilité de chacun. (...) Donner du lest à la tristesse et du corps au plaisir.
Alexandre Lanz - Journal du Jura 2005 Burgdorf Suisse

Montfort en Chalosse : En vedette aux Aoûtats, une voix poétique, celle de Martine Caplanne.
(...) A la guitare ou sans, c'est une vraie musique des mots qu'elle fait entendre de sa belle voix grave de lionne de la savane poétique qu'accompagne la guitare joyeuse ou plaintive de Albert Eyheramendy. Chansons, rap à la moulinette, petits morceaux de comédie inspirés du café-théâtre...  Un vrai  récital de textes qu'elle met en musique. (...) "Un monde sans poésie, c'est un monde sans oxygène". Et dans la chaleur des Aoûtats, l'oxygène comme les mots étaient précieux.
A.Q. -  Sud Ouest 2004


Martine Caplanne sert les poètes avec un talent extraordinaire. J'ai assisté récemment au Théâtre de Bayonne, devant une salle comble, à son spectacle ciselé et en suis ressorti conforté dans mon amour pour l'humour poétique sur scène. Si elle se produit près de chez vous, allez-y, vous ne regretterez pas votre soirée.
Jean Pierre Lesieur - Revue "Comme en poésie" 2004


Toutes mes félicitations pour ton spectacle "L'humour est un fan de poèmes" que nous avons été heureux de coproduire dans le cadre de notre saison le 5 février dernier.
L'accueil réservé par le nombreux public est à la mesure de ton talent et de la sensibilité avec laquelle tu as composé ton spectacle.
J'espère que de nombreux théâtres auront le bonheur de t?accueillir au cours des prochains mois.
Dominique Burucoa Directeur de la Scène Nationale de Bayonne

"Salut Victor !" 
Spectacle poétique et vocal, mercredi soir, salle Francis Planté dans le cadre des "Saisons" et de la "Semaine du Livre en fête" : remarquablement accompagnée à la guitare par Albert Eyheramendi, Martine Caplanne, chanteuse à la voix chaude et grave, a proposé une rencontre avec Victor Hugo.(...)
L'amour, la mort, la poésie, la religion, les droits des femmes... Tous les combats que Victor Hugo a vécus, défendus, couchés sur le papier avec une telle force sont là, repris avec une générosité évidente par Martine Caplanne . (...) La voix de Victor Hugo s'éteint, mais ses paroles sont encore présentes. Ce mercredi soir, quelque chose s'est passé, de toute évidence.
Corinne Maysounabe - La République des Pyrénées 2002


Émouvante soirée "Victor Hugo"
(...) Chants, musiques, textes dits... Une évocation sensible de ses oeuvres( ...)Le public vibrait au rythme de la poésie. Et d'aucuns auront retenu une larme en entendant "Demain, dès l'aube" ou encore l'évocation de la mort de Gavroche dans les Misérables. C'est une salve d'applaudissements qui a conclu cette très belle soirée...
Le journal du Médoc 2002 - SH
                          

"Salut Victor ! !"
(...) Ce fut une brillante réussite. Parler d'inspiration, de talent est encore minimiser ce que fut cette soirée qui mérite parfaitement le qualificatif "d'exceptionnel" ! Martine a fait revivre Victor avec toute sa sensibilité, sa tendresse et quelquefois sa brutalité, avec son sens inné de l'interprétation, avec ce je ne sais quoi qui fait qu'un  artiste est grand (...) durant un peu plus d'une heure le Grand Victor Hugo a été présent dans la salle Maurice Thorez et les spectateurs venus nombreux ont parfaitement senti cette présence en rendant hommage à la fois au personnage et à son interprète dans une standing ovation assez émouvante. A noter la très bonne prestation de David Usabiaga guitariste accompagnateur de grande qualité. (...)
reflets.com 2002 - René Hervé

Semaine des arts, un brin de poésie !
(...) Samedi soir, la soirée spectacle a réuni un grand nombre de personnes venues se réchauffer au son de la voix ensoleillée de Martine Caplanne, qui était venue chanter et (enchanter !) des textes de René Guy Cadou et Jules Supervielle. (...) D'une voix charmeuse et à la fois puissante, elle a su donner une âme aux mots des poètes et a distillé des émotions, des moments de bonheur, des petits morceaux de vie en vérité.. (. .. )
Le Courrier de Paimboeuf  1999


Sous le charme de Martine
(...) Une chanteuse authentique, une voix pleine d'émotion. Et le public ne s'y trompa pas, elle a été vivement applaudie tout au long de la soirée et a même dû, à la fin de son récital, revenir trois fois sur la scène. Martine Caplanne, sous les applaudissements d'un public visiblement sous le charme, descendra dans la salle tout naturellement pour parler de "ses poètes" qu'elle chante si joliment.
L'Écho du Valentinois 1999 -  Pascal PLANTIER


Vendredi soir Martine Caplanne a une nouvelle fois su trouver le ton qui convenait pour captiver et tenir les spectateurs sous le charme de ses poètes favoris (...). Elle aura passé 10 jours dans le Nord-Ouest de la Guyane à l'invitation des associations Action-Ecoles et Magua (...). Le tout pour le plus grand plaisir des enfants et des adolescents dont l'un a estimé : "Elle a un feeling black".
France-Guyane  1997


8èmes Rencontres de Clermont Ferrand :( ...) cette jeune femme chante les poètes avec un style affirmé. Beaucoup de personnalité, une voix étonnante de puissance (à la Colette Magny), des orchestrations de Christian Laborde très séduisantes. On aimerait la revoir.
La Montagne 1997

L'espace d'une soirée, la Grange aux Poètes à Louisfert a vibré sous les mots de Cadou et Supervielle ressuscités par un petit bout de femme à la voix ensorceleuse.
Presse-Océan  1996

Notes-en-Bulle 3eme : Pour l'ultime secousse, rayonnante, Martine Caplanne illumine magiquement la poésie la plus délicate. Sur bande ou à la guitare, sur un rythme de blues ou de tango, elle porte haut l'émotion de Cadou ou de Supervielle comme elle sait graver dans les cœurs les vers de quelque poétesse méconnue.
Chorus N° 13 - 1995


Y a de vrais spectacles poétiques : j'en ai vus. Qui tiennent leur public en haleine. Passionnants. Parmi ceux-là Martine Caplanne et son récital R.G. Cadou. Qui nous déboule de l'autre bout de la France comme un oiseau de bonne augure. Avec sa sono et sa guitare à poèmes, son soleil en bandoulière et son p'tit accent du Sud?Ouest. Comme un grand sourire, une histoire de mots simples, d'amour et de vérité. Comme une ambassadrice de la poésie sur les chemins de l'authenticité.  Pierre Vaast -  Lettres à un jeune revuiste 1994

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